Deux pieds dans le bénitier

Deux pieds dans le bénitier

Le podcast qui pose un regard catho sur les luttes dans notre temps

Deux pieds dans le bénitier

Deux pieds dans le bénitier, le podcast qui pose un regard catho sur les luttes dans notre temps. Une réalisation du Ceras animée par Clémence et Martin.

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Ce qui nous meut - 2ème partie

“Evangile et Révolutions”... Le sous-titre du Festival des poussières, qui s’est tenu du 25 au 27 août dernier dans le éco-hameau chrétien de Goshen, ne pouvait que piquer notre curiosité !
Martin, Clémence et Charles, nous étions tous les trois présents pour participer aux conférences, débats, ateliers… et temps festifs et collectifs !
200 personnes étaient présentes sur ce festival, toutes avec de belles expériences d’engagement porté par leur foi dans le Christ et dans le monde qu’Il nous appelle à bâtir…
Nous avons ainsi retrouvé cinq témoins, tous passés par le podcast il y a plus ou moins longtemps.
Avec elles, avec eux, et en public, nous avons eu envie de faire le point sur leur engagement, leur rapport à l’espérance alors que les luttes s’intensifient et que l’urgence écologique et sociale s’accélère, nous en avons chaque jour de multiples preuves.

Dans cette seconde partie, Timothée de Rauglaudre et Pierre-Louis Choquet nous proposent une réflexion sur la place des intellectuels dans les luttes écologiques et sociales, et la manière dont leurs engagements influent sur leur travail.

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Pour aller plus loin :

Le festival des poussières est une initiative du Collectif Anastasis, mot grec désignant à la fois la “résurrection” et l’’insurrection”.
Plus d’informations ici : https://collectif-anastasis.org/

Pour suivre l’actualité de Timothée de Rauglaudre, vous pouvez aller sur son site : https://www.tderauglaudre.fr/

Et pour retrouver les épisodes où nous avions reçus Timothée et Pierre-Louis :

CRÉDITS :
Musiques du générique :
Guazu / Guazu(CC BY-SA 3.0)
Pode Ser / Andreia Dacal (CC BY-NC-SA 2.0 FR)
Conception graphique : Figures Libres

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Ce qui nous meut - 1ère partie

“Évangile et Révolutions”... Le sous-titre du Festival des poussières, qui s’est tenu du 25 au 27 août dernier dans le éco-hameau chrétien de Goshen, ne pouvait que piquer notre curiosité !
Martin, Clémence et Charles, nous étions tous les trois présents pour participer aux conférences, débats, ateliers… et temps festifs et collectifs !
200 personnes étaient présentes sur ce festival, toutes avec de belles expériences d’engagement porté par leur foi dans le Christ et dans le monde qu’Il nous appelle à bâtir…
Nous avons ainsi retrouvé cinq témoins, tous passés par le podcast il y a plus ou moins longtemps.
Avec elles, avec eux, et en public, nous avons eu envie de faire le point sur leur engagement, leur rapport à l’espérance alors que les luttes s’intensifient et que l’urgence écologique et sociale s’accélère, nous en avons chaque jour de multiples preuves.

Dans cette première partie, nous retrouvons Alix Bayle, Caroline Ingrand-Hoffet et Joseph d’Halluin, avec qui nous parlons écologie, féminisme, enfantement, parentalité et espérance…

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Pour aller plus loin :

Le festival des poussières est une initiative du Collectif Anastasis, mot grec désignant à la fois la “résurrection” et l’’insurrection”.
Plus d’informations ici : https://collectif-anastasis.org/

Pour en savoir plus sur les engagements de nos invité.es :

  • Greenfaith, association interreligieuse pour la justice écologique : https://greenfaith.org/fr/
  • La collective Oh my Goddess, qui publie notamment deux podcasts qu’on vous recommande : Bonne Nouv.elle, la parole inclusive du dimanche, et Les maculées conceptions, podcast qui s’empare des enjeux du genre dans le catholicisme : https://ohmygoddess.fr/bonne-nouvelle/

Et pour retrouver les épisodes où nous avions reçus Alix, Caroline et Joseph :

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Guazu / Guazu(CC BY-SA 3.0)
Pode Ser / Andreia Dacal (CC BY-NC-SA 2.0 FR)
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Le capitalisme est-il une structure de péché ? Réflexions sur l'économie à partir du cas Total

Depuis le début de ce podcast, nous vous avons parlé de luttes, d’écologie, de féminisme, du vivant, de voitures, d’exil, de laïcité, de genre, de politique… et même de bêtes sauvages. Mais nous n’avons jamais vraiment abordé ce qui tient notre système ensemble, ce grand “machin” ou ce grand “tout” qu’est le capitalisme. Et pour cause… on n’est pas vraiment hyper fort·es en économie. Pourtant, nous sentons bien qu'à chaque fois que nous parlons de luttes, nous sommes confronté·es à ce système qui organise notre société. Est-il possible de le dépasser ?

Afin d'y voir plus clair, nous sommes allé·es tendre nos micros à Pierre-Louis Choquet. Sociologue, spécialiste des entreprises transnationales, il a notamment contribué à la fameuse étude « Early warnings and emerging accountability: Total’s responses to global warming, 1971-2021 » pour la revue Global Environmental Change. Dans cette étude, Pierre-Louis et ses coauteurs démontrent que Total était conscient depuis plusieurs décennies de l'impact de ses activités sur le réchauffement climatique et n'a rien fait, si ce n'est fabriquer du doute.

À partir du cas Total, nous essayons de comprendre le système dans lequel nous évoluons, comment il façonne le monde et si nous pouvons le transformer, notamment à partir des ressources que l'Église et le christianisme nous proposent.

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Pour en savoir plus sur le travail que mène Pierre-Louis Choquet sur Total, vous pouvez :

Autres publications de Pierre-Louis Choquet :

Du côté de la Revue Projet :

Du côté de la doctrine social de l'Église :

  • l'article "Entreprise capitalise" par Cécile Renouard, religieuse de l'Assomption, philosophe et autrice de nombreux ouvrages sur la responsabilité éthique des entreprises
  • l'article "Libéralisme" par Étienne Perrot, jésuite et économiste
  • l'article "Structures de péché" par Mathias Nebel, directeur de la Fondation Caritas in veritate

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La bataille du vélo

Si vous avez fait du vélo un de vos modes de transports réguliers - que ce soit à l’occasion d’une grève, du Covid, par conviction écologique, pour des raisons de santé ou tout simplement parce qu’un jour il faisait beau - alors vous avez sûrement pris conscience que l’espace public est conçu pour que la voiture y soit reine ! Mais pourquoi cette hégémonie pour un transport individuel pas si vieux dans l’histoire des mobilités humaines et problématique à bien des égards ? Pour déconstruire le modèle de la bagnole et tenter d’imaginer un avenir plus cyclable, nous recevons Joseph D’halluin. Militant vélo de longue date, il a été secrétaire national de la FUB, la Fédération des usagers de la bicyclette, et travaille aujourd’hui pour le Mouvement Laudato si’.

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Pour aller plus loin, il y a tout d’abord le blog de Joseph La bataille du vélo

Quelques recommandations de la part de Joseph :

Ouvrages :

Articles :

Sinon du côté de la Revue Projet :

Et sur l’enjeu des enfants dans l’espace public :

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La non-violence, un truc de tièdes ?

Lors d’une visite récente en République démocratique du Congo et au Soudan du Sud, le Pape François a laissé poindre le découragement : “Le monde entier est en guerre. L’humanité aura-t-elle le courage, la force, ou même la possibilité de faire marche arrière ?”

La violence du monde, celle des conflits armés, mais aussi celle des injustices sociales, de la destruction écologique due à l’avidité et à la recherche du profit, peut nous décourager. Cette impuissance peut nous pousser à réinterroger cette non-violence reçue comme un héritage évangélique. Mais nous pouvons aussi porter le regard sur des situations qui pouvaient sembler sans issue, mais où patiemment, des artisans de paix creusent chaque jour un chemin de résilience et de pardon.

C’est ce qu’a fait pendant plus d’un an notre invitée du jour. En 2018, Rachel Lamy, éducatrice spécialisée, s’est embarquée pour un tour du monde de la non-violence qu’elle raconte dans un livre et pour nous, au micro de Deux pieds dans le bénitier.

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Addicte à l’espoir. Mon tour du monde de la non-violence, de Rachel Lamy, aux Éditions Salvator, 2022
Vous pouvez suivre les activités de Rachel sur son blog « Citoyens du monde, jardiniers de la paix »
Rachel est formatrice au sein des Brigades internationales de la paix et elle a été rédactrice en chef de la revue Alternative non-violente

La Revue Projet a récemment consacré tout un dossier à la question : « Violences : symptôme ou système ».

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